Dans ce roman intimiste et vibrant, May Telmissany peint le quartier d’Héliopolis au Caire comme un théâtre de mémoire, de silence et d’attachement. À travers le regard d’une femme entre deux mondes, la ville devient un lieu de souvenirs, de blessures, et de beauté fragile.
Un récit poétique et mélancolique qui explore l’exil intérieur et le lien profond avec les lieux de l’enfance.